Lorsque l’on écrit sur le web, qu’il s’agisse d’un article de blog ou d’un communiqué de presse, il est essentiel de hiérarchiser l’information. Pour que le lecteur sache dès le début ce dont veut lui parler le rédacteur, il est impératif de placer une introduction également appelée chapô, c’est que vous êtes en train de lire. Mais, en quoi ce chapô est-il si important ?
Un chapô : pour quoi faire ?
Le chapô est un élément essentiel. Il intervient juste après le titre. Ni trop long, ni trop court, il a pour fonction d’annoncer la suite au lecteur. Il convient de rédiger un chapô clair et concis qui donne envie au lecteur de continuer sa lecture. Si ce dernier ne comprend le chapô, si les informations se succèdent sans rien apporter, il fuira. Et tout votre travail sera inutile. En effet, vous pouvez écrire un article de mille mots avec les meilleures informations du monde, si vous ratez votre intro, vous aurez perdu votre temps. En outre, sur les blogs, vous voyez souvent la liste des articles avec un aperçu seulement. C’est ce fameux chapô. Alors, si vous voulez que les internautes cliquent, soignez-le.
Comment faire un chapô ?
Selon les rédacteurs, les avis peuvent diverger mais l’essentiel reste de faire un texte bref qui introduit le corps de l’article. Poser une question, mettre du suspense, placer un peu d’humour, il existe de nombreux moyens « d’appâter » le lecteur. Si le chapô est une introduction, c’est un résumé qui doit donner envie. C’est un peu comme la quatrième de couverture d’un livre. Si le résumé est bâclé, il est fort probable que le livre ne sera pas lu. Idéalement, il faudrait presque faire ce chapô une fois que l’article est écrit. Cela permet d’avoir tous les éléments en main et de rédiger un texte pertinent. D’autre part, pour le référencement, il est essentiel de bien construire son chapô en indiquant à Google, dès le début, que l’on va bien traiter du sujet dont le titre fait mention. Il faut y placer des mots clés en rapport avec le titre et le sujet, parfois même répéter le titre, pourquoi pas ? Si c’est fait de manière naturelle, ça ne peut pas faire de mal.