Non, je n’ai pas perdu le sens commun ! Ce titre est intentionnel, juste pour que chacun puisse se rendre compte à quel point une faute peut-être absolument horrible pour qui la voit. Pour certains, pas besoin d’avoir une telle monstruosité sous les yeux pour être choqués. Il suffit d’un participe passé avec un « er » pour exploser. Si beaucoup considèrent qu’une faute d’orthographe, ce n’est pas bien grave, dans le cadre professionnel, écrire sans aucune faute est un gage de sérieux. Autant faire en sorte de ne pas en faire.
Pourquoi éviter de faire des fautes ?
Parce que c’est plus sérieux, comme je le disais précédemment. Proposer un texte bourré de fautes peut faire penser à un texte bâclé, à une volonté de ne pas perdre son temps avec le contenu alors que c’est la base de tout. Certes, il faut que le site soit esthétique, que la navigation soit fluide, mais c’est bel et bien le contenu qui va séduire l’internaute. Qu’il vienne chercher de l’information ou qu’il vienne acheter un produit, le minimum est de lui proposer des textes exempts de fautes. Vous gagnerez en crédibilité, soyez en certain. C’est pourquoi je vous propose mes services. C’est mon métier de rédiger sans faire de fautes, de lire et relire mes textes pour m’assurer qu’il ne reste aucune coquille. Car, parfois, il ne s’agit pas de français mais d’erreurs d’inattention. Et puis, parfois, parce que je suis un être humain, je vérifie. Je peux avoir des doutes, je ne suis pas lauréat de la dictée de Pivot, mais je vérifie ou je demande à quelqu’un qui saura mieux que moi. La grammaire française est très complexe, l’une des plus complexes du monde, il n’est pas honteux de ne pas ou de ne plus savoir.
Pourquoi faire des fautes ?
Si certains font des fautes de manière naturelle, d’autres le font exprès. Non, vous ne rêvez pas, certaines fautes trouvées sur le web sont volontaires. Certains rédacteurs laissant des fautes le font à des fins de référencement. Les internautes ne perdent pas de temps avec les accords lorsqu’ils font une recherche, ils omettent les articles, les mots de liaison. Du coup, certains se disent qu’il faut placer ces fautes dans un texte. Ok, mais Google, aujourd’hui, est assez fort en orthographe, il n’est pas friand des textes avec des fautes et, sachez-le, il sait se dépatouiller avec les « du », « de », « au »… Si vous écrivez sur le web, arrêtez d’écrire n’importe quoi, c’est particulièrement pénible à lire. Vous devez d’abord penser à celui qui lira le texte, l’être humain, et ensuite vous adresser à Google en apportant quelques petites améliorations sémantiques. Parce qu’en matière de champs lexicaux, Google a fait de sacrés progrès.